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10 Tryo – Ce que l’on sème
LA chanson de Chris par excellence. Une des plus forte de notre vie commune. Surtout, vu les évènements…
Tout d'abord pour les paroles, ensuite pour Tryo, groupe que j'ai appris à aimer grâce à elle. On les avait vu au Summer Festival un été et j'avais pas accroché à leur musique. A force d'avoir les albums qui passent et repassent sur la mini-chaine de la cuisine, j'ai compris pourquoi elle aimait. Les enfants aussi.... Il est marrant de voir comment on peut avoir un apriori de départ (que l'on hésite pas alors à partager tout fort) puis se ranger à l'avis de Chris (en le clamant beaucoup moins).
Au-delà du groupe, c'etait exactement la qualité de Chris : de faire revenir des choses dans un aspect humain et personnel en laissant la premiere impression qui est souvent matérielle ou collective.
Si je l'ai choisie lors des derniers jours, c'est que beaucoup de personnes sont conscient de l'amour de Chris pour cette chanson avec toutes les paroles qui touchent chacune d’elles.
Paroles deTryo - Ce que l'on sème
J'aurai préféré pour toi,
Juste inverser le cours des choses.
J'aurai aimé, et toi ? une main tendue, une rose.
J'aurai aimé de toi, la certitude d'un geste,
Simplement quand sa n'va pas ne pas se fuir comme la peste.
Ils en étaient déboussolés de voir que l'on tenait quand même,
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème, ce que l'on s'aime.
J'aurai préféré, ma foi,
éviter nos sombres démences et maintes,
Maintes fois, oublier d'partir en vacances.
En vacances de toi, et comme l'amitié nous rattrape,
Nous rattrape à chaque fois, autant tenir quand ça dérappe...
Ils en étaient déboussolés de voir que l'on tenait quand même,
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème,
Ce que l'on s'aime, ce que l'on s'aime.
J'aurai voulu aimé, tu sais, tenir le cap,
Sauver les murs, courrir sans m'arreter,
Ne pas frissonner sous l'armure.
Et j'aurai voulu, tu sais, la longue traversée tranquille.
J'aurai même imaginé, ne jamais atteindre une rive.
Ils en étaient déboussolés de voir que l'on tenait quand même,
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème,
Ce que l'on s'aime, ce que l'on s'aime.
J'aurai aimé, tu sais, éviter nos fausses mesures.
J'aurai même préféré de nous, une lettre d'injures.
J'aurai voulu parfois, oui t'étrangler aux quatres vents.
Te serrer dans mes bras, ah ça je l'ai voulu souvent.
Ils en étaient déboussolés de voir que l'on tenait quand même,
Et nous les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème, ce que l'on s'aime.
Ils en étaient déboussolés de voir que l'on tenait quand même, e
T nous les premiers étonnés de récolter ce que l'on sème,
Ce que l'on s'aime, ce que l'on s'aime...